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Quand la pensée remplace le médicament

lundi 27 octobre 2003, par L’Eveil Sophrologique *


QUAND LA PENSEE REMPLACE LE MEDICAMENT

S’il est une thérapie où la pensée se substitue avantageusement au médicament, c’est bien la sophrologie.

Dommage que ses possibilités soient si peu connues.

Dommage qu’elle ne soit pas plus ancrée dans les mœurs, pour les malades et pour la sécurité sociale. Quelle économie de tranquillisants par exemple !

Mais c’est une science encore jeune. Puisse cet article la mieux faire connaître.


RIEN NE SE FAIT SANS L’ACCORD DU PATIENT.

La sophrologie est une technique douce et naturelle d’intervention psychologique. Elle s’appuie sur une modification du niveau de conscience et un éveil des forces d’auto guérison de l’organisme. C’est, sous la direction du sophrologue, après accord mutuel, une auto-prise en charge du malade qui devient son propre médecin.

On la confond parfois avec l’hypnose. C’est une erreur, l’hypnose est une méthode dure, qui impose. Il y a dépendance du patient.

La sophrologie est une méthode permissive. Rien ne se fait sans explications et accord préalable du patient.

Le sophrologue a une position de guide. Il suggère des états, des situations que le patient doit vivre, des suggestions que le patient transforme en auto suggestions. Et c’est au cours de ces scènes que le patient réalise son pouvoir, ses capacités d’influence sur son corps et son esprit. Le sophrologue suggère, le patient fait le travail et se guérit lui-même. Rien, absolument rien ne peut se faire sans l’assentiment du malade. Non seulement il garde son libre arbitre, mais il est maître incontesté de la situation, avec des capacités psychiques qui se trouvent généralement accrues.

Qui est sophrologue ?

Le sophrologue est formé par des psychiatres, des médecins, des psychologues. Le sophrologue est un psychothérapeute, c’est-à-dire qu’il doit avoir une formation de psychologue, il doit avoir une grande sensibilité et un amour intense de son prochain.. Ceci dit, il n’est pas forcément médecin, mais il travaille généralement en collaboration avec eux.

LA PENSEE, UNE FORCE VIVANTE ET DURABLE.

La sophrologie est basée entièrement sur la pensée réfléchie et orientée, appliquée sous une forme que l’on appelle généralement « imagerie mentale ».

Et pour bien comprendre le phénomène et son efficacité, il faut savoir ce qu’est exactement la pensée, connaître son mécanisme.

La pensée est une force, une vibration comme la lumière, la chaleur, le son, l’électricité, à cette différence qu’elle n’a pas de manifestation physique directe. Rien ne se produit, jamais, dans la vie, sans avoir été pensé, souvent après avoir été stocké dans l’inconscient, cet « entrepôt mental ». Chaque parole, chaque acte est d’abord une pensée.

Même l’acte premier, le « verbe » a forcément été, avant tout, une pensée.

Une pensée est toujours créatrice. Si elle ne l’est pas immédiatement, elle est stockée, elle sera créatrice un jour, seule, telle qu’elle ou modifiée ou assemblée à d’autres. Si elle ne s’exprime pas immédiatement, elle le fera forcément un jour lorsqu’elle aura été renforcée par d’autres pensées identiques.

Elle est rarement personnelle, car l’inconscient, qui enregistre tout, même ce que nous ne percevons pas, est particulièrement influençable.

Malgré son immatérialité, la pensée est une réalité plus durable que les réalisations matérielles tangibles. Max Hendel donne cet exemple :

Un architecte décide de construire une maison. Avant toutes choses, il réfléchit à la forme qu’il va lui donner. Dans son esprit il échafaude des plans, l’idée se précise, puis acquiert sa forme définitive, il produit la forme-pensée de sa maison. Pour lui, elle existe déjà, il la voit. Il fait faire les plans, la fait construire. La forme-pensée est devenue réalité objective. Tout matérialiste soutiendra que cette construction est plus réelle, plus durable que l’image qui se trouve dans l’esprit de l’architecte. Mais cette maison n’aurait pu être construite sans la forme-pensée. Elle peut être détruite par un incendie, la forme-pensée restera présente dans l’esprit de l’architecte... jusqu’à sa mort, lui-même ne saurait la détruire.

Selon certaines théories mystiques, lorsque l’être humain émet une pensée, il crée une « entité » ». Selon l’intensité de l’action cérébrale qui l’a produite, cette créature de l’esprit aura une vie plus ou moins longue. Si celui qui l’a créée l’entretien, la caresse, l’alimente en puissance, elle prend des forces et vit longtemps ; par contre, une pensée sans suite meurt rapidement.

Il y a les pensées positives et les pensées négatives et les entités de même nature s’attirent et se groupent. Si bien que les pensées d’un individu peuvent se trouver renforcées par les pensées similaires déjà émises autour de lui et celles qui seront émises par la suite.

Par contre, les pensées de sens opposé se repoussent et se détruisent. Heureusement, à égalité, les forces positives sont toujours gagnantes. Ainsi l’on peut détruire des pensées mauvaises en leur opposant des pensées d’amour.

Ces pensées, ces forces vivantes seraient stockées dans l’aura où chacune vivrait sa propre vie, comme les cellules dans notre corps physique.

Ce sont elles que l’initié peut voir, avec des formes variées, des couleurs multiples, représentations de notre nature profonde, intime : nos désirs, notre imagination, nos pulsions.

La pensée non verbalisée resterait magnétiquement liée à son créateur, dans l’aura.. Par contre, la pensée exprimée, c’est-à-dire renforcée par la parole, propulserait un écho d’elle-même à l’extérieur.

LA PENSEE DANS LES ELECTRONS DE NOS CELLULES

A la théorie précédente, il faut confronter celle de Jean E. Charon, physicien au Commissariat à l’Energie Atomique de Saclay, lequel se réfère d’ailleurs aux travaux de Teilhard de Chardin.

Théorie selon laquelle les électrons, ces « objets passe-muraille », ces particules immatérielles, composantes de toute matière, y compris nos cellules, sont d’une part dotées d’une faculté d’enregistrement et d’une mémoire totale, à quoi s’ajoute la faculté d’échanger les informations à distance avec les autres électrons.

Et je citerai cet extrait de « L’esprit cet inconnu » édité chez Albin Michel :

« Si je suppose que les électrodes qui forment mon corps sont non seulement porteurs de ce que j’appelle « mon » esprit, mais constituent même en fait mon esprit lui-même, alors il n’y a naturellement aucune difficulté à reconnaître que mon « je », c’est-à-dire mon esprit, communique avec mes électrons. Il y a ici identité entre mon « je » et mes électrons ».

TOUT REPOSE SUR L’IMAGINATION ET L’AUTOSUGGESTION

On peut considérer qu’une sophronisation complète se fait en deux temps :

1) La recherche de l’état modifié de conscience 2) Le message thérapeutique.

La première partie est déjà en elle-même une thérapie puisqu’elle apporte la relaxation et elle n’implique pas forcément la deuxième, tout dépend du but recherché.

Dans l’état modifié de conscience, hormis la détente musculaire et nerveuse, il y a passage à l’état « Alpha » qui se situe entre la veille et le sommeil. Ceci explique d’ailleurs pourquoi certains patients basculent parfois dans le sommeil.

L’état Alpha provoque une réceptivité particulièrement intense de l’inconscient. C’est alors que le sophrologue peut -étant entendu qu’il y a accord préalable du sujet- suggérer un message destiné à influencer l’inconscient et agir, par son intermédiaire, sur l’organisme et obtenir un meilleur fonctionnement de tel ou tel organe ou, en cas complexe, provoquer un comportement différent.

Et toutes ces procédures sont basées sur l’imagerie mentale.

L’état Alpha peut être obtenu de façon classique par la détente musculaire et la recherche de sensations corporelles comme la lourdeur, la chaleur ou la légèreté -sensations qui sont suggérées, imaginées, puis ressenties- mais il existe quantité d’autres « trucs » que peut employer le sophrologue. Toute la technique repose sur l’imagination et l’autosuggestion. C’est la grande découverte d’Emile Coué, que l’on peut considérer comme le précurseur de la sophrologie.

Notre inconscient dirige toutes nos fonctions organiques (battements du cœur, respiration, fonctionnement de nos organes, renouvellement des cellules, etc.), et aussi l’accomplissement de tous nos actes quels qu’ils soient. Mais il a aussi cette particularité de tout enregistrer, même ce qui passe inaperçu à notre conscient, et d’être très influençable.

C’est ainsi que nombre de personnes « imaginent des choses », s’autosuggestionnent sans s’en rendre compte, influencent leur inconscient négativement et « se rendent malade » comme l’on dit.

En sophrologie, le thérapeute propose des images, voire des comportements, mais -et c’est là où le patient garde son libre arbitre-, il est absolument nécessaire que ce dernier les transforme en autosuggestions. C’est le patient qui influence son inconscient.

A force d’auto suggestion, l’inconscient va faire sienne la proposition et agir en conséquence.

Le client du sophrologue, qu’il soit complexé ou qu’il somatise une anxiété par un mal physique, est une personne dont l’inconscient a pris des habitudes de comportement négatif. Dans les deux cas, le patient produit et entretient des pensées négatives. Son aura est pleines de pensées négatives, qu’il entretient avec ses obsessions, qu’il renforce en permanence, à tel point qu’il se crée parfois une véritable carapace qui s’oppose à toute pénétration d’idées de caractère opposé.

C’est là où le sophrologue, avec l’accord total de l’intéressé, suggère les pensées positives destinées à inverser la situation, pensées qui, heureusement, prennent le pas, à égalité de puissance, sur les pensées négatives. L’intervention est facilitée par l’état de réceptivité dans lequel se trouve l’inconscient grâce à la relaxation.

Le jour où l’inconscient aura accepté et fait sienne la suggestion du sophrologue, celle-ci se réalisera, car il agira en conséquence.

ET SURTOUT, PAS DE « VOLONTE »

Le plus difficile, dans ce processus est certainement de faire admettre qu’il ne faut absolument pas faire appel à la volonté, ce que l’on fait le plus souvent.

Volonté sous-entend « force » et « combat », donc « tension », ce qui va à l’encontre de la situation recherchée. L’inconscient s’oppose à toute intervention de la volonté si elle ne va pas dans le sens qu’il a choisi. Et dans cette lutte entre la volonté et l’imagination, c’est toujours cette dernière qui l’emporte.

Essayez donc de combattre une insomnie par la volonté. Plus vous ferez des efforts dans ce sens, moins vous réussirez. Par contre, relaxez-vous et imaginez que vous dormez paisiblement et vous trouverez le sommeil rapidement.

Emile Coué aimait cet exemple :

Vous posez au sol une poutrelle de vingt mètres de long et vingt centimètres de large. Il est évident que vous n’aurez aucune difficulté, aucune appréhension pour la parcourir d’un bout à l’autre sans mettre les pieds au sol. Supposons maintenant cette poutrelle à cinquante mètres de haut entre deux tours. Qui serait capable de faire seulement un mètre ainsi au-dessus du vide ? Même si vous faites intervenir votre volonté, vous ne pourrez. Pourtant vous savez que vous pouvez le faire. C’est votre imagination, celle de la chute possible, qui vous trahit, alors que précédemment, elle vous rassurait. Et cette imagination de la chute sera d’autant plus forte, et la chute sera inévitable. Le vertige n’est que l’imagination de la chute que vous déclenchez en regardant le vide.

LE PETIT RODOLPHE EFFACE SES VERRUES

Voici un exemple type d’imaginerie mentale et de son efficacité :

Le petit Rodolphe, douze ans, avait depuis longtemps une vingtaine de verrues réparties sur les deux mains et, psychologiquement, il en souffrait beaucoup. Il vint donc en consultation. Et voici la suggestion que le sophrologue lui fit en état Alpha :

« Je pose, à proximité de ta main, quelques feuilles de papier, un crayon et une gomme, tu les vois... Tu me fais signe en bougeant ton petit doigt lorsque tu les vois... Maintenant tu dessines chacune de tes mains sur une feuille de papier. Lorsqu’elles sont dessinées, tu me fais signe à nouveau... Tu dessines tes verrues, bien à leur place, sans en oublier aucune, et tu fais signe... Ensuite tu prends ta gomme et tu effaces chacune des verrues... (signal). Et tu peux constater combien cela t’est facile de les faire disparaître.

« A présent, tu imagines tes deux mains, tu te concentres sur tes deux mains et tu me fais signe lorsque tu les vois... Tu prends à nouveau ta gomme et tu frottes chacune de tes verrues avec la gomme comme si tu voulais les effacer. Et au fur et à mesure que tu frottes, tu sens qu’elles s’échauffent... Plus tu frottes, plus elles s’échauffent... Toutes tes verrues deviennent chaudes, tu les sens. Cette chaleur que tu ressens va les assécher, elles vont disparaître. Elles commencent à sécher. A partir d’aujourd’hui, elles fondent, elles vont fondre de plus en plus chaque jour, jusqu’à ce qu’elles disparaissent totalement, totalement ».

Il y eut deux séances, comme celle-ci et quatorze jours après, la plus grosse des verrues réduisait de volume et au bout de trois semaines elles avaient presque toutes disparues.

LES ELECTRONS DU SOPHROLOGUE COMMUNIQUERAIENT AVEC CEUX DU PATIENT

Dans les cours de sophrologie, il est coutume d’affirmer aux élèves : « Pour que cela marche, vous devez y croire ». Et il est aussi courant d’entendre dans une réunion de sophrologues, un praticien raconter :

« Avec ce patient, cela a marché très fort, j’étais en forme ». Il est encore admis par tous que lorsque le sophrologue ne se sent pas en forme ou n’a pas envie de s’occuper de tel patient, qu’il n’y a pas attirance, il est préférable qu’il refuse la sophronisation car cela ne marchera pas.

En effet, lors de la sophronisation, il y a communication de pensée importante entre le praticien et son patient. Ce dernier perçoit très nettement ce qui se passe dans les pensées du sophrologue, il y a communion totale. Certains auteurs sont allés jusqu’à parler d’un « acte d’amour ».

Les sophrologues ont l’occasion de constater ce phénomène de transmission de pensée, notamment lorsque, au cours d’une sophronisation avec un sujet entraîné, ils adoptent une nouvelle suggestion Il est fréquent que le patient perçoive, à l’instant où ils pensent, alors qu’ils n’ont pas verbalisé, la suggestion qu’ils ont choisie et ressente la sensation que le sophrologue a décidée de proposer.

Ceci nous ramène à la théorie de Charon, qui écrit :

« Si maintenant je pose le problème de l’homme communiquant avec d’autres électrons que ceux de son propre corps, nous sommes alors ici devant la question générale des rapports de l’homme avec la nature. Il est bien certain que dans les problèmes de télépathie, on est en présence d’une communication directe, sans l’intermédiaire du langage habituel entre deux esprits différents. Cela pourrait parfaitement s’expliquer par une communication directe entre mes propres électrons porteurs de mon esprit, et les électrons de l’autre, porteurs de « son » esprit. »

Ce phénomène expliquerait l’importance de la concentration de la pensée du sophrologue ; lors des suggestions, surtout thérapeutiques. Il semblerait y avoir aide importante du thérapeute par l’action de sa pensée, comme un phénomène de guérison commandée, qui est d’autant plus efficace que le patient se trouve dans un état de réceptivité idéal. A ce moment, il y a deux actions qui se conjuguent, l’action d’autosuggestion du patient se trouve littéralement multipliée par la force de la pensée du sophrologue.

En conclusion :

La pensée est à la fois fragile et d’une puissance qui peut aussi bien être bénéfique que redoutable. * Elle a besoin d’être maîtrisée, dirigée.

Le sophrologue connaît tous les « trucs » pour y arriver, il est là pour vous aider.

Certains ne manqueront pas de crier « Danger », « Attention à l’abus de pouvoir ».

Puisse cet article vous avoir démontré que cela n’est pas possible, le patient garde toujours son libre arbitre. Et la sophrologie n’est efficace que si elle est accompagnée d’un amour profond de son prochain.


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